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L
Un système embarqué ou enfoui désigne un système électronique et informatique autonome (aussi bien le matériel que le logiciel), spécialisé dans une tâche bien précise. Ses ressources en matière d'espace et de consommation sont généralement limitées. L'embarqué et le libre constituent une union improbable qui, pourtant, existe et dure. La formidable capacité d'évolution de Linux lui a permis de conquérir les domaines les plus exigeants et on trouve aujourd'hui des systèmes embarqués basés sur GNU/Linux dans les milieux industriels, l'aéronautique, la téléphonie, la domotique, la surveillance, le médical, etc. La première partie, L'embarqué et le libre : des éléments de choix stratégiques, est consacrée à la compréhension des licences avec une vision juridique : 01. Le libre en général et dans l'informatique industrielle 02. Pourquoi le libre ? 03. Comprendre GNU/Linux, les distributions et les modèles de développement 04. Osons parler du droit  +
Linux Live USB Creator (alias Lili) est à la fois un logiciel de préparation de clés USB amorçables et un site web assurant la distribution du logiciel. Une fois Lili installé dans une machine Windows, on peut très simplement télécharger une version de Linux et fabriquer une clé USB autonome avec cette version de Linux.  +
La mémoire d'un ordinateur est une longue suite de bits (interrupteurs qui peuvent être 0 ou 1). Ces bits sont regroupés en octets (groupe de 8 bits). Les octets sont regroupés en mots (16 bits), long mots (32 bits), quadruple de mots (64 bits) et de plus grands regroupements encore. La question qui se pose alors pour chaque groupe est "quel bout est le plus significatif ?". Ce document analyse en détail ce problème de format.  +
Sélection de ressources permettant de comparer des logiciels de compression.  +
Article du site SavoirsCDI (réseau SCEREN) en forme de questions-réponses sur le sujet des licences logicielles et des logiciels libres, permettant de comprendre rapidement la différence entre logiciel libre, freeware (gratuiciel), shareware (partagiciel) et logiciel propriétaire.  +
Sélection thématique de ressources pédagogiques relatives au logiciel libre et à tout ce qui relève de l'open source.  +
L'historique, les objectifs et mesures et les controverses relatifs à la loi Hadopi du 12 juin 2009 "favorisant la diffusion et la protection de la création sur Internet".  +
Publication par Legifrance du texte de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique, fondant la plupart des échanges électroniques (commerciaux, administratifs ou privés), régulant l'emploi du chiffrement (ou cryptographie), etc. Il s'agit de la transcription dans le droit français d'une directive européenne relative au commerce électronique et à la protection de la vie privée.  +
Grâce aux images médicales, les médecins et les chirurgiens peuvent voir ce qui reste invisible à l'œil nu.  +
Brève planche de bande dessinée humoristique créée en l'occasion de l'Ada Lovelace Day (journée internationale de célébration des femmes dans le domaine de la science).  +
Page décrivant comment configurer un environnement de développement Lua. Documentation sur les fonctions actuellement connues pour la Nspire, et une brève description de la façon d'utiliser les fonctions.  +
Luatex est une version étendue de pdfTeX utilisant Lua comme langage de script intégré. L'objectif principal des projets luatex est de fournir une variante ouverte et configurable de TeX, tout en offrant en même temps la compatibilité descendante.  +
Peut-on réellement produire du hasard avec des objets que l'on sait depuis longtemps fabriquer à cet effet, et en quoi les mécanismes pseudo-aléatoires simulent-ils le hasard ? D'ailleurs, le hasard "intrinsèque" existe-t-il ? La théorie des probabilités contourne le problème de la définition du hasard en raisonnant sur l’ensemble des cas possibles sans indiquer ce qu’est une suite aléatoire de tirages indépendants et équitables. En 1965, le Suédois Per Martin-Löf a proposé une définition du hasard véritable ou au sens fort : une suite est aléatoire si elle passe tous les tests statistiques de contrôle de sa nature aléatoire et de repérage des générateurs pseudo-aléatoires déficients ou, autrement formulé, si les écarts de ses propriétés par rapport aux tests sont raisonnables. Cette définition a été acceptée lorsque l’on a montré qu’elle équivaut à deux idées plus simples : une suite est aléatoire si elle est incompressible, c’est-à-dire impossible à représenter par un programme plus court qu’elle-même, et si elle est imprévisible, aucun système de pari mécanique ne gagnant contre elle. Or, tous les objets physiques inventés pour générer du hasard ou des suites aléatoires, procédés macroscopiques, qu’ils soient anciens ou récents, mécaniques (tirage au sort : dé, lancer de pièce, roue de loterie, roulette, boule, tirage de cartes ou "bandit manchot") ou algorithmiques (machine à sous électronique à générateur algorithmique, générateurs d’algorithmes rapides, ou lents utilisables en cryptographie dont l’efficacité dépend du temps nécessaire pour le décryptage, suites algorithmiques de nombres rationnels ou irrationnels, méthodes proposées dans les langages de programmation) sont déterministes et sensibles aux conditions initiales, indépendamment de toute manipulation ou tricherie. Par exemple, pour une pièce de monnaie, est source de biais la manière de la faire tournoyer en l’air, ou, et surtout, l’équilibre des masses lorsqu’on la fait tourner comme une toupie sur une surface plane. L’imprévisibilité pratique générée par un mécanisme physique complexe souligne seulement la difficulté de connaître les conditions initiales avec une précision satisfaisante, et non pas qu'une série de tirages est aléatoire au sens fort, car dans un monde newtonien déterministe le hasard fort est impossible. Il en va de même pour les dispositifs physiques microscopiques de type quantique, rien dans les principes mêmes de la mécanique quantique ne garantissant la production de véritables séquences aléatoires au sens fort. Ces procédés physiques n’engendrent donc que des suites pseudo-aléatoires, du pseudo-hasard. Subsiste toutefois un paradoxe : entre les divers types de suites pseudo-aléatoires énumérés ci-dessus, aucune différence n’a été repérée par les batteries de tests conçus depuis un siècle, et soigneusement collectés par exemple par le NIST (National Institute of Standards and Technology) aux États-Unis. Tout va bien, semble-t-il. Autrement dit, théorie et pratique sont en totale divergence.  
Un bel abécédaire pour entrer dans le vocabulaire de l'informatique et découvrir un panorama de la recherche en informatique. Chaque lettre illustrée renvoie à un mot du vocabulaire informatique choisi par les chercheurs pour évoquer leurs domaines de recherche. Un court texte explique le sujet de recherche, les enjeux, les applications. Et pour en savoir plus, il suffit de cliquer.  +
La place de l'informatique comme discipline d'enseignement. Objectif : transmettre quelques notions de base sur l'informatique de façon ludique, et sans aucun recours à l’ordinateur. Cours + exercices.  +
Un ouvrage d'experts publié dans le cadre du programme de promotion de l’informatique FIT lancé par la Fondation Hasler en 2006, dont le but est d’ancrer une véritable éducation informatique dans les écoles. Il explique les liens entre l’informatique, la formation aux médias et les applications des technologies de l’information et de la communication. Une longue discussion sur les liens complexes entre mathématiques et informatique éclaircit le sujet. Il propose enfin le concept, le contenu et les objectifs d’un cours d’informatique au gymnase ou au lycée.  +
La donnée est au coeur du fonctionnement des institutions publiques, de l’Etat aux collectivités. Elle permet d’aider à la décision, d’évaluer les politiques mises en oeuvre ou de faire vivre les services urbains de notre vie quotidienne (transports, vie culturelle, économie, politique sociale, …). Ce livre montre comme l’open data peut être source d’innovation tant pour les institutions que pour ceux qui réutilisent les données publiques, dans les domaines économiques, culturels et sociaux (préface de Jacques-François Marchandise).  +
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Illustration interactive permettant de comprendre les principes de la machine abstraite ou algorithme de Turing.  +
Véritable encyclopédie des mathémathiques de l'informatique,ce document explique comment utiliser des modèles mathématiques et des méthodes pour analyser les problèmes dans les sciences de l'information.  +
Ce site propose des animations comme supports de notions mathématiques. Il utilise abondamment les appliquettes (ou applets) Java (petits programmes fonctionnant à l'intérieur de pages Web).  +